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Laurent Ruquier détaille la rentrée d'"On n'est pas couché"

Le talk show aura le droit à des prime times et pourrait voir sa durée raccourcie pour les émissions habituelles.

A quoi va ressembler "On n'est pas couché" à la rentrée ?

"On n'est pas couché" passe en prime time. A la rentrée, en plus de la traditionnelle émission hebdomadaire, le samedi en deuxième partie de soirée, France 2 proposera occasionnellement des numéros du talk show de Laurent Ruquier à 20h50. Et "le premier prime va vite arriver, quinze jours après la rentrée, en septembre", annonce Laurent Ruquier dans un entretien accordé à nos confrères de Télé Loisirs. Jean-Luc Mélenchon sera le premier invité politique à se confronter aux questions de Vanessa Burggraf et Yann Moix en prime time, ajoute l'animateur.

Ces émissions de prime time "s'articuleront autour de trois invités principaux, dont un politique", poursuit Laurent Ruquier. "Il y aura également une dimension 'live' puisque les artistes reçus pourront chanter. Ces émissions seront tournées le jeudi soir, dans le même décor, mais un peu modifié, pour être diffusé le samedi soir en prime time. Dans ce cas, bien sûr, il n'y aura pas d'émission de seconde partie de soirée", continue-t-il.

L'émission de deuxième partie de soirée raccourcie

Quant à l'émission sous sa forme habituelle, le samedi après un divertissement, elle va aussi connaître quelques évolutions, outre l'arrivée de Vanessa Burggraf suite au départ de Léa Salamé. "J'ai envie de neuf. Je travaille encore sur de nouvelles rubriques, mais tout n'est pas bouclé. Je souhaite engager un humoriste car ça manque, et Nicolas Bedos ne reviendra pas tout de suite, à cause de son film", explique-t-il, confirmant l'arrêt du "Flop Ten", "remplacé par une autre séquence de revue de l'actualité".

"Je souhaite raccourcir l'émission et la faire passer à une durée de 2h30 alors qu'aujourd'hui, elle dure parfois jusqu'à 3h15 ! C'est trop long à mon goût", ajoute Laurent Ruquier. Enfin, l'animateur s'exprime également sur la rediffusion du dimanche après-midi, pour laquelle il n'est "ni réticent, ni favorable". "C'était l'idée de la chaîne qui a eu envie de tester cette formule. C'est audacieux. Peut-être est-ce une bonne chose, après tout... Car les gens qui regardent la télé le dimanche après-midi ne sont pas forcément les mêmes que ceux qui la regardent le samedi soir. Quoi qu'il en soit, on fera vite le bilan", conclut-il.

Source : http://www.ozap.com

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